Voltalia signe un accord de partenariat de co-développement avec l’Ouzbékistan
Voltalia annonce un partenariat de co-développement en Ouzbékistan pour un complexe électrique, à la fois renouvelable et pilotable, comprenant des capacités solaires, éoliennes et de stockage par batterie d’une puissance totale comprise entre 400 et 500 mégawatts.
En marge de la visite officielle du président Mirziyoyev en France, le gouvernement ouzbek et Voltalia ont signé, en présence de la BERD (Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement), un accord de partenariat pour le co-développement d’un complexe électrique, le premier du genre en Asie centrale. Il permettra de favoriser l’accélération des énergies renouvelables et de réduire la congestion du réseau.
La puissance installée sera comprise entre 400 et 500 mégawatts, qui se répartira aux alentours de 200 mégawatts de solaire, de 200 mégawatts d’éolien et de 60 mégawatts / 240 mégawattheures de stockage par batteries. Le site sera sélectionné conjointement par Voltalia et le ministère ouzbek de l’Energie. La mise en service est prévue à partir de 2026.
Le complexe produira plus d’un térawattheure par an, couvrant ainsi les besoins en électricité de plus de 800 000 habitants et évitant l’émission d’au moins 500 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère chaque année.
Pour assurer sa sécurité et sa croissance, l’Ouzbékistan vise une capacité renouvelable de 8 gigawatts d’ici 2026 et de 12 gigawatts d’ici 2030.
Les équipes de développement international de Voltalia, basées à Paris, suivent le marché ouzbek dans le cadre du partenariat de Voltalia avec l’un de ses actionnaires, la BERD. Voltalia a participé à un premier appel d’offres éolien en 2021 et participe actuellement à un autre appel d’offres solaire parrainé par l’IFC (Groupe Banque Mondiale).
« Nous sommes particulièrement fiers de soutenir la transition énergétique en Ouzbékistan. Ce projet de complexe, qui combine trois technologies, est une première dans la région. Nous souhaitons faire bénéficier l’Ouzbékistan de notre longue expérience des complexes multi-énergies, qu’il s’agisse de très grands projets, comme Serra Branca au Brésil (éolien et solaire) ou de plus petits, comme Toco en Guyane (solaire et stockage) », a déclaré Sébastien Clerc, directeur général de Voltalia.
VIDEO HUAWEI